Un début d'histoire pour vous !

Danseur Novice! Nombre de messages : 8 Age : 31 Date d'inscription : 12/06/2007

La femme se tordait de douleur plaquée contre le sol du manoir. Autour d'elle tout était sombre, triste, noir. Elle jonchait sur le sol, ses mains contre son visages plein de plaies profondes. Elle n'avait plus la force de continuer, mais elle le devait. Elle avait tant couru pour échapper à l'homme qui en ce moment était la cause de sa douleur !
Elle avait traversé toute le demeure qu'elle connaissait si bien à la recherche d'un endroit où se cacher. Son agresseur prononça de nouveau, à mi-voix, les mots d'un sortilège et une lame invisible vint se planter dans le ventre de la femme. Le sang ne coula pas, mais la douleur était bien présente. Dans son corps, dans ses veines, dans son sang.
La femme ferma les yeux et éttouffa un cri. Elle avait mal. Elle avait mal mais ça lui était égal. Elle devait resister. Elle ne pouvait pas abandonner. Pas tout de suite. La femme respira et essayant d'ignorer la douleur, elle se leva et fit face à l'homme. Son visage était caché par une sombre capuche noire et une cape de la même couleur recouvrait son corps.
Mais la femme connaissait par coeur les traits de son agresseur et n'avait pas besoin de voir son visage pour savoir quelle lueur de haine brillait dans son regard. Pourquoi en étaient-ils arrivés là ? Pourquoi la vie avait été si dure avec eux ?
Pourquoi tant de mensonges étaient venus rompre leur amour ? Les jambes de la femme n'arrivaient pas à supporter le poids de son corps. Ses mains cherchèrent avec hésitation un appui pour ne pas tomber au sol une fois de plus. Ses yeux sombres était fixés sur le carrelage poussiereux, elle prit une grand inspiration et osa regarder l'homme qu'elle avait aimé durant plusieurs années.
Il avait tant changé. La femme ne reconnaissait plus du tout celui avec qui elle s'était mariée. Pourtant elle savait que s'était lui. Il était la seule personne au monde à pouvoir lui faire du mal. Car la douleur, le froid, la faim, elle pouvait y venir à bout mais avec un coeur brisé, la survie est peine perdue. Ses longs cheveux noirs lui tombaient sur les épaules, longs emmelés et sâles.
Sa longue robe rouge déchiréeétait la preuve de la lutte acharnée dont l'homme et elle s'étaient livrés sans répis depuis plusieurs heures. Le regard de la jeune femme cherchait épuisé les yeux de son mari à travers l'obscurité
Un bruit se fit entendre à la droite de la femme, dans l'ombre. Non ! Non pas maintenent ! Un solution, vite !
L'homme aussi était fatigué. Il était même épuisé. Et beaucoup plus moralement que phisiquement. Car en effet, il ne semblait pas avoir remarqué la présence d'un autre personne dans la maison. Un frisson parcouru tout le dos de la jeune femme.
Elle devait trouver une solution. Il ne devait pas le trouver ! Décidée, elle se mit à courir dans la direction contraire à celle de l'endroit ou le faible bruit s'était fait entendre. Elle devait éloigner l'homme de la seule chose qu'elle lui avait refusé. Il ne devait pas lui enlever la chose qu'elle défendait depuis plusieurs années. Jamais elle ne lui donnerai. Jamais !
La femme courait toujours. Le froissement du tissu de sa robe évoquait celui du gémissement du vent qui soufflait, irregulier.
Irregulier comme les pas de la femme. Elle tombait parfois, se relevait toujours. Ses pas résonnaient sur la carrelage sombre et poussiereux.
Elle entra dans une salle circulaire, éclairée par une simple bougie. La femme regarda autour d'elle même d'un air desemparé. Elle tenta de bloquer la porte a l'aide d'un sortilège. On lui avit toujours appris que la magie devait être son dernier recourt, mais dans cette situation, la femme ne voyait pas d'autre solution.
Elle se concentra et doucement mais sûrement commença à formuler l'enchantement qui créera une prison magique sans entrée ni issue possible. Il ne lui manquait qu'un seul mot pour terminer le sortilège et tout serait en place. À ce même moment, l'homme entra dans la pièce.
La femme termina le sort. Ils était les deux, seuls dans cette pièce sans issue. Puis l'homme se retrouva seul. La femme était partie. Elle éatit sur le sol, immobile. Completement immobil. Même son coeur ne batait plus. Elle était morte. L'homme hurla de rage ! Il le va les mains au ciel et comme si il s'adressait à elle, il s'écria :

- Tu me le paiera Alice ! Tu me le paiera !

L'homme était coincé dans cette pièce circulaire, dans une prison magique que personne maintenant ne pouvait supprimer. La femme s'était sacrifiée pour sauver son enfant. Leur enfant.

Ça m'est venu tout seul. Dites-moi ce que vous en pensez... Si il y a des défauts, des incoherences, des trucs incomprehensibles,...
Voilà, suite à venir ! Hihi ! tongue

Et tu oses dire que tu "as toujours manqué d'imagination" !!!
Pff foutèse ( ca s'ecrit comme ca ? oOo j'en sais rien... hihi )!!

Aller vite la suite!

Danseur Novice! Nombre de messages : 8 Age : 31 Date d'inscription : 12/06/2007

Citation :: Pff foutèse

Je crois que c'est foutaise... Hihi

Citation :: Aller vite la suite!

Ça veut dire que ça t'a plut ?

On dirait bien ^^ même moi j'ai pris du temps à tout lire ... un truc que j'aurais jamais pu faire quand je vois ça Very Happy

... comme dit ma tite chérie (Albine) Aller vite la suite :p

La suite la suite la suite la suite la suite ! ( pk il devrais avoire une suite ? ) moi j'aime bien ^^